LE ROUGET ET LA MOUETTE (1980, 2003 & 2004)
Cette production de la Maison de la Culture date d’il y a bien longtemps déjà : le texte a été écrit par Irmine Tehei et joué pour la première fois dans les années quatre-vingts, où il a remporté un succès impressionnant. 20 ans plus tard, ce sont des adultes qui l’avaient vu enfants qui ont demandé à ce que le spectacle soit rejoué, et qui ont même envoyé la bande son – c’est vous dire le souvenir que cet événement leur avait laissé…
La pièce n’avait rien perdu de sa modernité et a enchanté petits et grands avec ses textes savoureux, ses chorégraphies très étudiées et ses petits poissons légers et magiques traversant la scène avec lenteur…
L’histoire est celle d’un enfant, qui demande à sa grand-mère pourquoi les oiseaux survolent toujours le lagon. La grand-mère entreprend alors de raconter cette très vieille légende, selon laquelle les mouettes guettent le lagon pour sauver les poissons pris dans les pièges…
Le spectacle, entièrement en lumière noire, permet aux marionnettes, peintes dans des couleurs fluorescentes, de prendre tout leur éclat à la lueur des néons. On se croirait dans un aquarium, tant l’apparence est réaliste, mais non, vous êtes dans un conte… C’est magique ! Et ce ne sont pas les quelques 7536 spectateurs venus à l’occasion qui vont vous dire le contraire.
La pièce n’avait rien perdu de sa modernité et a enchanté petits et grands avec ses textes savoureux, ses chorégraphies très étudiées et ses petits poissons légers et magiques traversant la scène avec lenteur…
L’histoire est celle d’un enfant, qui demande à sa grand-mère pourquoi les oiseaux survolent toujours le lagon. La grand-mère entreprend alors de raconter cette très vieille légende, selon laquelle les mouettes guettent le lagon pour sauver les poissons pris dans les pièges…
Le spectacle, entièrement en lumière noire, permet aux marionnettes, peintes dans des couleurs fluorescentes, de prendre tout leur éclat à la lueur des néons. On se croirait dans un aquarium, tant l’apparence est réaliste, mais non, vous êtes dans un conte… C’est magique ! Et ce ne sont pas les quelques 7536 spectateurs venus à l’occasion qui vont vous dire le contraire.